Masterclass de saxophone - Espace Simone Veil

MASTERCLASS

animée par Michel Supéra, saxophoniste

ouverte aux auditeurs libres
Organisée en partenariat avec la Société Buffet Crampon
Jeudi 3 et vendredi 4 avril, 17h30-20h30
Espace Simone-Veil, rue de la Providence
Entrée libre dans la limite des places disponibles

Saxophoniste aux multiples facettes, Michel Supéra est issu du CNSM de Paris où il a obtenu un Premier prix de saxophone. Il se produit régulièrement en France et à l’étranger avec de prestigieux orchestres tels que l’orchestre de la radiotélévision belge, l’orchestre national de Lille, l’orchestre de chambre de Brasilia, l’orchestre Colonne, l’orchestre à cordes de la Garde républicaine, la musique royale des guides de Belgique, l’orchestre de la Force aérienne du Portugal, la musique des Gardiens de la paix de Paris, l’orchestre national de Colombie…
Passionné de musique de chambre, il a joué avec des artistes de renom tels que le violoncelliste Xavier Phillips, le trompettiste Romain Leleu, le pianiste Denis Pascal, l’accordéoniste Marcel Azzola ou le pianiste de jazz Baptiste Trotignon.
Il est régulièrement invité en France et à l’étranger (Pologne, Allemagne, Angleterre, Espagne, Portugal, Finlande, Brésil, Pérou) pour des masterclasses ou comme membre de jurys de concours nationaux et internationaux. Il est par ailleurs co-directeur artistique du concours européen ClariSax.
Très attaché au renouveau du répertoire, Michel Supéra travaille sur des créations de Laurent Petitgirard, Olivier Calmel, Jacques Schab, Pierre Charvet, Elzbieta Sikora, Frédéric Boulard, Alain Crepin, Sylvain Kassap, Jean-Philippe Vanbeselaere, Eric Comère, Philippe Portejoie, Nimrod Borenstein, Camille Pépin… On lui doit également plusieurs enregistrements dont Impressions françaises ou Vents d’Est en Ouest avec l’accordéoniste Eric Comère, Horizons concertants avec l’orchestre d’harmonie des gardiens de la paix de la préfecture de Paris, ou encore Etats d’âme, concerto pour saxophone alto et orchestre symphonique composé par Laurent Petitgirard.
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