Nés de la rencontre entre Chloé Mathiez, plasticienne et Robert Piccamiglio, poète et romancier, ces 13 poèmes-affiches que composent ces « Cœurs si peu mortels » se veulent une correspondance entre le travail du peintre et celui de l’écrivain. Il ne s’agit en aucun cas « d’illustrations » mais bien d’un dialogue ouvert entre gravures, dessins, peintures, collages, rhodoïds et mots inspirants. Cette écriture musicale et son scénario d’images qui l’accompagne, complices, font preuve d’une grande liberté d’expression. À eux deux ils forcent l’imaginaire à se dévoiler pour traquer l’irrationnel, le mystère et l’émotion.
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