Le quatuor nantais (depuis exilé à Paris), sans doute féru de géopolitique du Moyen-Orient et nostalgique des embrassades humides d’une vieille tante anonyme lors des repas de famille, s’est formé en 2014.
Signé depuis sur le label parisien Existence, Bisou de Saddam oscille savamment entre shoegaze, ghetto pop et noise, le tout à grand renfort de nuages nucléaires de reverb..
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