Jean-Pierre Vincent, avec la 77e promotion Joël Pommerat, d'après Marivaux
Nous n’aurons pas la grossièreté d’enrôler Marivaux dans on ne sait quelle croisade contre l’Argent Roi. Mais enfin, Roi, il l’est souvent. La Finance a émergé de façon très visible, très publique, durant les années 1720 : les banquiers du Régent, la banqueroute de Law, les surintendants des Finances (c’est-à-dire, la privatisation de la « récolte » des impôts)…
Marivaux ne traite pas son apologue avec plus de sérieux qu’il n’en faut, mais plutôt avec une insouciante fantaisie. Marivaux était un homme de son temps, de tout son temps, rien que de son temps : un spectateur universel décortiquant vie intime et séduction, serviteurs et maîtres, utopies, contes à dormir debout… et histoires de sous, d’héritages, etc…
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