By Night
Rencontre avec Emanuele Coccia et Eduardo Kac - Maison Des Arts Centre D'art Contemporain De Malakoff
Le
De 16h00 à 18h00
Maison Des Arts Centre D'art Contemporain De Malakoff
105 Avenue Du 12 Février 1934
92240
Malakoff
Dans le cadre de l'exposition en cours "Dialogue(s) avec un brin d'herbe" à la maison des arts centre d'art contemporain de Malakoff, Aude Cartier et Natacha Seignolles invitent le philosophe Emanuele Coccia et l'artiste Eduardo Kac à se rencontrer et échanger autour de leurs recherches respectives.
À travers des démarches différentes, le philosophe Emanuele Coccia et l’artiste Eduardo Kac portent un regard particulier sur le monde végétal et le lien que l’homme entretient avec le vivant.
Le travail de Emanuele Coccia, porte sur l’histoire des formes normatives et sur la théorie de l’image. Il travail actuellement sur une monographie consacrée à la métamorphose des vivants. Parmi ses publications : «La vie sensible» (Paris 2010), «Le bien dans les choses» (Paris 2013) et «La vie des plantes. Une métaphysique du mélange» (Paris 2016). Dans ce dernier ouvrage, l’auteur soutient que malgré la démultiplication des débats sur la nature et le développement de l’écologie, les plantes – leur forme de vie, leur nature – restent une énigme pour la philosophie. À partir d’exemples tirés de la philosophie, des sciences naturelles et de l’art, Emanuele Coccia propose d’établir une métaphysique des plantes.
Eduardo Kac est internationalement reconnu pour ses oeuvres interactives sur le Net et sa pratique en bio art. Ses travaux proposent un «art transgénique» à base d’organismes génétiquement modifiés à des fins artistiques. Après avoir défrayé la chronique avec le projet d’un lapin fluorescent vert «GFP Bunny» (2000), ensuite nommé Alba, Eduardo Kac s’interroge, dans ses installations «Genesis» (1999), «Le Huitième Jour» (2001), et «Move 36» (2002/2004), sur les croyances modernes. Avec «Edunia», oeuvre centrale de la série «Histoire Naturelle de l’Énigme» développée entre 2003 et 2008, l’artiste crée ce qu’il nome un «plantimal», une nouvelle forme de vie : une fleur crée par génie génétique, née de l’hybridation d’un Petunia et de l’ADN de l’artiste.
À travers des démarches différentes, le philosophe Emanuele Coccia et l’artiste Eduardo Kac portent un regard particulier sur le monde végétal et le lien que l’homme entretient avec le vivant.
Le travail de Emanuele Coccia, porte sur l’histoire des formes normatives et sur la théorie de l’image. Il travail actuellement sur une monographie consacrée à la métamorphose des vivants. Parmi ses publications : «La vie sensible» (Paris 2010), «Le bien dans les choses» (Paris 2013) et «La vie des plantes. Une métaphysique du mélange» (Paris 2016). Dans ce dernier ouvrage, l’auteur soutient que malgré la démultiplication des débats sur la nature et le développement de l’écologie, les plantes – leur forme de vie, leur nature – restent une énigme pour la philosophie. À partir d’exemples tirés de la philosophie, des sciences naturelles et de l’art, Emanuele Coccia propose d’établir une métaphysique des plantes.
Eduardo Kac est internationalement reconnu pour ses oeuvres interactives sur le Net et sa pratique en bio art. Ses travaux proposent un «art transgénique» à base d’organismes génétiquement modifiés à des fins artistiques. Après avoir défrayé la chronique avec le projet d’un lapin fluorescent vert «GFP Bunny» (2000), ensuite nommé Alba, Eduardo Kac s’interroge, dans ses installations «Genesis» (1999), «Le Huitième Jour» (2001), et «Move 36» (2002/2004), sur les croyances modernes. Avec «Edunia», oeuvre centrale de la série «Histoire Naturelle de l’Énigme» développée entre 2003 et 2008, l’artiste crée ce qu’il nome un «plantimal», une nouvelle forme de vie : une fleur crée par génie génétique, née de l’hybridation d’un Petunia et de l’ADN de l’artiste.
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