Première partie : JUR "Sangria"
« Il y a des chansons qui vous restent dans la tête, ‘’Il était fou’’ est de celles-là. Jouissance primaire du break, une syncope cousine du ‘’Écoute moi camarade » de Rachid Taha ou bien ‘’Louxor, j’adore’’ de Katerine. Le silence, une tension qui mène à la délivrance : le retour du son. Plaisir pervers de mélomane. ».
Jur (chant)
Julien Vittecoq (guitare)
Sébastien Bacquias (contrebasse)
Deuxième partie : la flutiste Naïssam Jalal
Dans cette nouvelle création, Naïssam Jalal réuni le pianiste Leonardo Montana et le contrebassiste Claude Tchamitchian à la recherche de l’Invisible.
Ce nouveau répertoire est à la croisée des musiques mystiques extra occidentales et traditionnelles et du jazz modal.
Le silence y possède une place centrale, le rythme mène toujours vers la transe dans une forme répétitive et hypnotique, parfois la voix vient prêter main forte aux instruments pour entrer en contact avec l’Invisible en le nommant. Une création qui oscille entre contemplation et transe, silence et musique. La musique est un art invisible qui entretient une relation particulière avec le temps.
Dans un élan d’introspection, Naïssam Jalal a composé ce répertoire en s’inspirant de toutes les musiques spirituelles ou rituelles qui l’ont touché et nourri lors de son voyage musical.
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