Avant, nos enfants étaient rêveurs, dans la lune, turbulents… Aujourd’hui, ils sont « hyperactifs », « dyspraxiques », « dyscalculiq ues », « dysorthographiques », quand ils n’ont pas un « trouble du comportement » ou un autre trouble psy plus grave. Qu’est-ce que cela dit de notre société ? Et surtout, est-ce qu’apposer de tels diagnostics permet d’apaiser la tristesse, la colère, l’inquiétude, l’autodéception, la culpabilité liées aux difficultés rencontrées ?
Pas sûr.
Grâce à des clés concrètes issues de leur pratique de la thérapie brève, ils nous proposent d’aider les enfants à trouver la meilleure façon de résoudre les problèmes qu’ils vont immanquablement rencontrer. En les accompagnant pour qu’ils puisent dans leurs propres ressources.
Source : Open Agenda
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