Si le mot est forgé par Françoise d’Eaubonne en 1974, il ne se diffuse que progressivement et depuis les États-Unis, puis l’Allemagne (avec Maria Mies et l’école de Bielefeld) et l’Inde (avec Vandana Shiva). Plusieurs écoféminismes se dessinent et se pratiquent, en quoi renouvellent-ils l’écologie et le féminisme ? En quoi ces manières de penser et d’agir questionnent la philosophie de l’environnement ? Sommes-nous au coeur d’une transition écologiquement genrée ? En quoi l’affirmation des écoféminismes change-t-elle la donne ?
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