Solo dansé de Marie Chapron, Cage. Traiter du regard en vingt minutes, par le mouvement et la plastique, s’apparente à un vertige solitaire. Accepter de regarder et d’être regardé. Sans bouger. Être là et ne plus trembler face au monde, face à l’autre, face à soi. Accepter le jugement, le regard. Ce solo est un cri, un cri lancé vers soi. Puis vers le monde.
0 Commentaire Soyez le premier à réagir