Petit bijou entre intense lyrisme et légèreté, Chérubin répand une atmosphère douce-amère.
Dérision permanente, on s’y amuse beaucoup, à l’image du héros en femme travestie qui n’en finit pas de papillonner. C’est aussi la vie de Massenet en accéléré, tiraillé entre son épouse, la cantatrice Sybil Sanderson, et une idylle incertaine avec Lucy Arbell. Un opéra en miroir sur l’inconstance du sentiment amoureux.
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