Rock it to the moon et le rockstore présentent :
King Khan And The Shrines
Au commencement, il était Blacksnake. Il jouait de la basse avec un groupe rock’n’roll garage montréalais mythique qui allait sous le nom The Spaceshits.
C’était en Allemagne, où il déménage en 1999, que Blacksnake est rebaptisé King Khan.
Son baptistaire ayant sûrement été égaré, on ne connaîtra jamais son vrai nom.
On sait toutefois qu’il est d’origine indienne, mais qu’il est né à Montréal. C’est d’ailleurs sa grand-mère indoue qui l’initie aux histoires de vaudou et de mysticisme, qui contribuent à faire de lui l’exotique et envoûtant shaman du garage et maharaja du soul qu’il est, de son royaume allemand.
Assoiffé de soul music, de psychédélisme, de yé-yé et de jazz, King Khan fait de l’Europe le nid où éclot son nouveau projet, King Khan and The Shrines, un super groupe de soul garage hyper dansant avec lequel il lance trois albums (Three hairs and you’re mine en 2002, Mr. Supernatural en 2004 et What is?! en 2007), plusieurs 45 tours et un split avec les respectés apôtres du soul The Dirtbombs, et monte un spectacle à tout casser, digne du « Soul Brother Number 1 » lui-même, James Brown. King Khan and The Shrines sont connus internationalement et sont hautement estimés chez les connaisseurs de garage et courus par les amateurs de musique à tendance rétro qui ont la piqûre de la danse vaudou maniaque primitive et transcendantale.
Ryder The Eagle
Force. Romantisme. Deux mots qui collent à la peau de Ryder The Eagle, batteur fougueux converti au songwriting, biker amoureux, crooner ténébreux.
Ryder hurle l’amour et susurre la haine à travers des chansons à l’image de sa moto: dépouillées, rouillées, rugissantes.
On pense à Beck, à Julian Casablancas ou encore à The Walkmen.
Une chose est sûre, Ryder The Eagle fonce sur la route de la sincérité et rien ne semble pouvoir l’arrêter.
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