Dès le milieu des années 20, sous l'influence du new-yorkais FletcherHenderson, les orchestres de jazz s'agrandissent et font assaut de souplesse virtuose dans des cabarets où l'argent – à défaut de l'alcool… - coule à flot.
La crise économique des années 30 n'aura pas raison de ces big
bands qui distillent un jazz dansant… et qui swingue.
Des arrangeurs et chefs d'orchestre hors-pair comme Count Basie ou Duke Ellington pilotent ces formidables machines de rythme pimentées des meilleurs solistes, qui volent en grande formation dans des cabarets prestigieux et des dancings scintillants et dépression oblige, distraient le public de la dureté du quotidien.
Le jazz est devenu adulte, grand public et séduit même la classe
moyenne blanche, Broadway et Hollywood.
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