« Au détour d’un couloir, je l’ai entendu chuchoter… comme s’il m’appelait.
Je me suis approchée et il m’a parlé… en quelques mots, il m’a transportée :
Ce fut le prélude de mon amour pour le violoncelle.
Il me fait vibrer.
Il me fait pleurer.
Je l’ignore.
Il se confie.
Je le contredis.
Nous faisons corps. »
Autour d’œuvres pour violoncelle seul, Juliette Divry vous livre ses confidences…
Bercée depuis toujours par la musique grâce à des parents mélomanes, la passion de Juliette Divry pour le violoncelle débute à l’âge de 7 ans.
Elle se forme au sein du conservatoire de Rennes et continue sa formation au Pôle Supérieure Bretagne-Pays de la Loire.
Sa curiosité, son envie d’explorer, de découvrir l’amènent très rapidement vers d’autres horizons…
La musique klezmer avec « Les Bubbey Mayse », l’univers folk avec Alan Corbel, ou encore le pop/folk avec « The Last morning soundtrack » et « Mermonte ».
Elle s’immerge également dans le spectacle vivant avec « Looking For Alceste » (Nicolas Bonneau - Compagnie La Volige).
Riche de toutes ses expériences, Juliette décide de retourner aux sources avec son projet « Confidences d’un violoncelle » en interprétant les oeuvres du répertoire pour violoncelle seul.
Prix libre
Photo de Richard Volante
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