Suite à la mort tragique en septembre 2022 de Mahsa Jina Amini arrêtée et molestée par la police pour non-respect du code vestimentaire iranien on aurait pu espérer que le mouvement de contestation « Femmes, vie, liberté » qui a soulevé tout le pays amènerait à une mise en difficultés du régime et plus de libertés. Hélas, il faut le constater, en ce début 2024, les arrestations, les procès expéditifs, les exécutions n’ont pas cessé. La dictature des mollahs est toujours aussi forte et une menace pour les droits et les libertés en Iran.
Maryse Artiguelong est membre du Bureau national de la Ligue des Droits de l'Homme, Vice-présidente de la Fédération Internationale pour les Droits Humains.
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