Mais n’te promène donc pas toute nue ! L’épouse du député Ventroux est atteinte d’une agaçante manie qui risque de compromettre la carrière – toujours fragile – du parlementaire.
Leurs discussions conjugales apparemment ordinaires prennent des directions totalement imprévues et il s’en dégage alors un comique irrésistible et une puissante impression de vérité quotidienne. Il y a unité de lieu, de temps et d’action.
Comme le disait Marcel Achard :… Ses pièces ont la progression, la force et la violence des tragédies. Elles en ont l’inéluctable fatalité. Devant les tragédies, on étouffe d’horreur. Devant Feydeau, on étouffe de rire ..
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