Armanda, qui se voudrait mystérieuse et magnétique, entre en scène. Le décor se déploie comme l’imaginaire de cette conteuse malhabile, qui s’assure régulièrement que le public a bien saisi son histoire. Voici un conte débordant de personnages étranges, d’arbres en gants mappa, de dérapages et d’imprévus. Un spectacle qui questionne les mécanismes de la violence et de la passivité avec délicatesse, cruauté et beaucoup de fantaisie.
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