LADY CHAROGNE
Son nom est un hommage au poème de Baudelaire qui nous éclaire sur la subjective beauté de ce monde et l’inéluctable fin de toute chose en perpétuel devenir.
Lady Charogne à accepté comme modèle ce qu’elle même recherche comme photographe. De la racine de notre enveloppe charnelle mise à nue par un autre à ses paysages qu’elle nous fait découvrir, il existe deux côtés de nos êtres qu’elle n’a pas peur de côtoyer et qui effraient pourtant la plus part d’entre nous : « l’en vie » en conflit avec notre inéluctable mort.
Elle nous rappelle à la vérité, celle que l’on ose regarder et qui nous dit que les canons esthétiques qui sont sublimés dans notre société ne trahissent en fait que le reflexe que l’on a d’éluder ce que nous nous sommes réellement : Une irréversible décrépitude en conflit perpétuel avec notre désir de vivre d’avantage, reniant par là-même tout ce qui s’en éloigne…
LADY CHAROGNE hait le mensonge, et c’est ainsi que l’obscurité est peut être la lumière et la lumière sujet à l’obscurantisme.
Si la beauté est vrai elle est forcement éternelle et dans toutes choses … toutes choses se rattachant à toutes choses dont nous faisons nous même partie, sans aucune limites pour devenir « UNITÉ ».
Pour LADY CHAROGNE tout est unité, tout est beauté, tout est paysage si le paysage est simplement ce que nous regardons… nous sommes maître d’y trouver du beau,
LADY CHAROGNE est maître de ses paysages…
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