De Bénédicte Allard Autoportrait vivant d'une femme au besoin viscéral de créer. Journal intime impertinent et sulfureux. Autoportrait irrésistible peint à l'or, au sang et à la sueur d'une femme dans un monde d'hommes. Ballerine à la colonne brisée, Frida danse la vie en éternelle affranchie : Viva la vida !
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