Dans une petite ville de Corrèze, à Merlines, un des berceaux des troubadours, et des trobaïritz, il neige, le feu crépite, la soupe frémit et les langues se délient, la veillée peut commencer.
C’est dans le café de la Paulette que les contes qui parlent de solidarité, de froid et de voyage vont se partager accompagnés de comptine et de cordes sensibles, voix, guitare, violoncelle, et cithare.
Contes abordés lors de la soirée : la soupe aux cailloux, la petite fille aux allumettes, Lohi la sorcière, le loup dévoreur, Toinou et Toinette, la moufle et quelques comptines, ou berceuses.
Intention :
À travers les contes choisis, je souhaite redonner vie aux soirées d’antan, auprès du feu. Au temps où il n’y avait ni télévision, ni poste de radio, où la veillée occupait les mains, avec les travaux d’hiver, et les conteurs ou conteuses, racontaient et/ou chantaient. Un temps où on se donnait des nouvelles de ceux qui étaient partis, ou les blagues et les comptines faisaient partie des soirées.
La contée se veut participative, avec des refrains à reprendre, des contes à partager. L’humour, la musique et l’émotion appellent au partage, les mots et les sentiments.
0 Commentaire Soyez le premier à réagir