Bryan Campbell explore le roman Moby Dick en une histoire d’amour nichée au coeur de la violence écocide. L'interprétation déclamée et performative des adaptations littéraires, musicales ou cinématographiques du roman trouveront leur place dans un jeu auto-dérisoire, à la fois blagueur et profondément ressenti, dans la continuité de sa précédente pièce Deep Cuts. La spatialisation du son et des corps au plus proche des spectateur·rices, dans des espaces lumineux ou des boites noires modulaires, invitera à un voyage vers une nuit incertaine
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