Adapter Martin Eden pour la scène, c'est rendre compte de cette pensée en mouvement perpétuel. Être à la hauteur de ce tourbillon. C'est une composition dont le but est de suivre le parcours de Martin Eden, de percer ce cerveau tantôt foisonnant d'idées, de poèmes, de philosophie, de beauté et tantôt “grouillant d'asticots” et anéanti par le travail. C'est une composition à trois éléments : le texte de Jack London bien entendu, les images du film Martin Eden réalisé par Hobart Bosworth en 1914, la musique pour faire entendre cette tension continue.
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