Dans le Concerto pour violon de Ligeti, le violon est capricieux, voire diabolique, sans pour autant rompre avec la mélodie et le lyrisme. Dans le Scherzo de la Symphonie n°4 de Mahler, selon les propres mots du compositeur, « c’est le violon du diable qui mène le bal ! » L’œuvre s’achèvera néanmoins sur un chant célébrant les joies de la vie céleste.
Lieu : Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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