C’est ce qui est arrivé à Armel Dupas et Jean-Louis Cousseau. Avec comme matière première standards ou compositions originales d’un côté, poèmes en prose ou en vers de l’autre, les voilà donc qui dialoguent à tout va, sans ordre préétabli, sans autre consigne que l’écoute mutuelle. Sous le signe du swing et de l’improvisation, ils inventent à chaque fois de nouvelles constructions sonores où phrases musicales et mélodies des mots s’appellent, s’épaulent, s’épellent, pour le très grand plaisir de partager un bout de route avec les spectateurs que n’effraient pas les chemins non balisés.
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