D’après Céleste, ma planète de Timothée de Fombelle.
Elle est apparue un matin dans l’ascenseur. On a monté cent quinze étages en silence. Puis elle est entrée dans l’école, comme moi. Pendant la récréation, elle est restée dans la classe. Moi, penché au parapet de la terrasse de verre, je me répétais : « Ne tombe pas, ne tombe pas, ne tombe pas ». J’avais peur de tomber amoureux. À l’heure du déjeuner, elle est partie et n’a jamais remis les pieds au collège. Il fallait que je la retrouve.
Dans un futur, peut-être pas si lointain, une mégapole de tours de verres, une atmosphère tellement polluée que l’on ne sort jamais, un adolescent solitaire. Tout cet univers bascule le jour de l’arrivée de la belle Céleste à l’école. Un coup de foudre, une disparition, une course-poursuite pour la sauver mais aussi pour sauver le monde. Dystopie écologique, Céleste ma planète nous aide à réfléchir à travers un conte : quand une histoire d’amour se fait combat écologique…
Mise en scène et adaptation Didier Ruiz
Distribution: Delphine Lacheteau, Hugues De la Salle et Mathieu Dion DramaturgieOlivia Burton
Scénographie Emmanuelle Debeusscher
Vidéo Zita Cochet
Création Lumière Maurice Fouilhé
Création sonore Adrien Cordier
Images animées Lucien Aschehoug et Aurore Fénié
Costumes Marjolaine Mansot
Régie Jérôme Moisson
Source : Open Agenda
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