Si le phénomène du négationnisme, entendu comme la négation de la réalité du génocide, a tendance à diminuer, de nouvelles modalités de révision de l’histoire s’expriment tant dans la sphère publique que dans la sphère académique. Cette table ronde propose de dresser un état des lieux de ces nouveaux discours de distorsion de la Shoah aux États-Unis et dans les pays de l’est de l’Europe (Hongrie, Pologne, Serbie et Slovaquie).
La rencontre fera également le point sur le négationnisme du génocide des Tutsi en présentant la genèse, les acteurs et les différentes thèses en vigueur.
En présence de Waitman Beorn, professeur associé en histoire à la Northumbria University Newcastle (Grande-Bretagne), d’Andrea Petö, professeure au département des Gender Studies à la Central European University (Vienne, Autriche), et de François Robinet, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université Paris-Saclay.
Animée par Audrey Kichelewski, maîtresse de conférences en histoire contemporaine à l’université de Strasbourg, co-rédactrice en cheffe de La Revue d’histoire de la Shoah.
Tarif : de 3€ à 5€
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