Dès le XIXe siècle, la ville de Boukhara, en Ouzbékistan, est devenue un centre important de fabrication des ikats et la communauté juive de la ville y jouait un rôle déterminant. Appartenant à la classe marchande et urbaine de la société ouzbèque, les juifs s’occupaient essentiellement de la teinture, puis du tissage et du commerce des produits finis.
Le mahJ conserve plusieurs de ces célèbres manteaux qui, durant le temps d’une rencontre, quitteront les réserves pour évoquer la communauté juive boukhariote et expliquer la technique sophistiquée de teinture et de tissage de l’ikat.
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