Les conflits armés, qu’ils soient de « haute intensité » ou de « basse intensité », qu’ils soient le fait d’armées appartenant à des états, de groupes paramilitaires, ou de groupes mafieux, leurs conséquences touchent plus durement les populations vulné- rables, dont les femmes qui, même si elles ne sont pas en première ligne, ont le plus à souffrir de ces divers états de guerre au vu de leurs rôles : soin aux enfants, aux personnes âgées, rapport à la nourriture, à l’éducation... Dans ces situations dramatiques, quelle place pour la non-violence ?
Source : Open Agenda
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