Pourquoi obéit-on Peut-on manager sans contraindre La désobéissance est-elle irresponsable et individualiste, ou est-ce plutôt un devoir au service du bien commun
Les intervenants :
Mars 2020, la France entière est confinée. Une vague de docilité et d'obéissance déferle sur les foyers du monde entier. Rester chez soi, faire une attestation pour sortir, se limiter à une heure par jour. Comment aurait-on pu imaginer un tel renoncement aux libertés individuelles
Cinq ans plus tard, notre contexte politique marqué par un vacillement des mécanismes traditionnels de la démocratie interroge l'idée même d'autorité. Ce constat d'une lassitude manifeste des gouvernés à l'égard de leurs gouvernants, mis à l'épreuve par une crise de la représentation, questionne les relations entre exercice du pouvoir et obéissance.
Face à ces nouveaux enjeux, nous vous proposons une réflexion sur les logiques à l'oeuvre dans nos manières collectives et individuelles d'obéir.
Pourquoi obéit-on encore Comment les différents pouvoirs façonnent-ils notre consentement Peut-on manager sans contraindre Obéir, est-ce être responsable La désobéissance est-elle le produit d'une société individualiste ou un devoir au service du bien commun
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Crédit image : Eugène Delacroix, La liberté guidant le peuple, 1830
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