L’étude des vestiges archéologiques permet de découvrir le quotidien des soldats pendant les quatre années où ils sont restés, presque immobiles, dans les tranchées.
Par Nicolas Garmond, responsable scientifique d’opération sur les conflits récents, en partenariat avec le service archéologie du Grand Reims.
Le premier conflit mondial a laissé de nombreuses traces dans le sous-sol de Reims et ses environs, qui réapparaissent régulièrement au fil des nouveaux aménagements. Associant discipline scientifique et préservation du patrimoine, l’archéologie apporte un complément d’information non négligeable aux nombreuses archives sur la Grande Guerre.
Source : Open Agenda
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