L’exposition collective « Radiosthésie » inaugure la toute nouvelle salle d’exposition Daphne Oram (1925-2003) gérée par BASALT : sons et curiosités. Pensée comme une sorte de « télégraphe céleste », elle a été imaginée en s’inspirant d’une photographie des expériences sur la radioélectricité du physicien Heinrich Hertz. Mystérieuse pour le profane, l’image renvoie à un imaginaire du laboratoire prométhéen moderne. « Radiosthésie » en reprend les codes pour faire de la galerie un laboratoire, des oeuvres un protocole expérimental, de l’exposition une expérience.
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