La série retranscrit les expériences des immigrants à travers différentes évocations symboliques. Des paysages, enneigés ou tropicaux, comme un lieu incertain quelque part entre l'origine et la destination. Des natures
mortes d'objets familiers que les souvenirs imprègnent de sens. Des portraits d'individus dans des espaces indéterminés qui suggèrent une communauté qui ne connaît pas de frontières. Grâce à cette approche poétique, la photographe américaine d'origine iranienne établit un langage visuel qui reflète la désorientation liée à l'exil, comme le paysage émotionnel des migrants.
Dans le cadre de Glaz Festival, Rencontres internationales de la photographie.
Source : Open Agenda
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