Juniore joue d'un décalage temporel, entre la nostalgie d'une époque jamais connue - celle des scopitones, des moteurs à deux temps et des voyages sur la Lune - et un univers contemporain, à la Tarantino, peuplé d'histoires de filles, de fantômes, de villes et de voitures. On y entend des guitares ultra réverbérées auxquelles répondent des harmonies pleines de spleen et de rythmes. A travers des slows langoureux, des rythmes qui twistent, le groupe raconte des histoires d’amour et de désamour, sceptiques et convaincues, toujours graves et légères, portées par des mélodies imprégnées des culture 60’s acidulée et teintées de mélancolie apocalypse, un genre de « yéyé noir » en somme.
Source : Open Agenda
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