Vernissage "Rétrospective" - Galerie Artefact
Le
De 19h00 à 22h00
Galerie Artefact
1 Ruelle Mazeau
97400
Saint-Denis
Patrick Guilbaud Présente « Rétrospective »
Afin de capter la sensibilité des toiles de Patrick Guilbaud il faut remonter à la genèse de sa vie.
Adopté par une famille franco-algérienne il passa son enfance dans le désert algérien où il hérita d’une double nationalité et d’une empreinte culturelle mixte.
Plus tard sa famille et lui furent obliger de migrer à cause de l’indépendance de l’Algérie dans les « merjas » du Gharb marocain où sévissait la lutte contre le protectorat. Enfant isolé et solitaire, le dessin était pour lui un espace de sécurité sur ces terres de conflit.
Son engouement pour le dessin en fin de terminale, lui valut d'être lauréat de la matière et en prime une année aux beaux-arts de Rabat. Cependant les différends familiaux successifs le poussa à quitter le Maroc.
En 1968 à Paris il devient mineur, ouvrier, nouvel étudiant et loin de la peinture.
Heureusement il rencontra cette belle blonde aux yeux d’azur qui devînt sa femme et sa muse. Après l'obtention de son doctorat il se sent libre et peint régulièrement.
Patrick Guilbaud tend à la manière des impressionnistes de « passer par l’ordinaire afin de cesser de l’être »
On peut percevoir par ses toiles sa double nationalité. Les couleurs et les lumières constamment étudiées qui traduisent l’émotion de chaque moment vécu. Aussi avec son arrivée à la Réunion sa production et sa palette se renouvelle et ramène une touche locale à l’exposition.
Parcourez donc le fil de sa vie à travers de ses toiles ancrées de belles histoires.
Afin de capter la sensibilité des toiles de Patrick Guilbaud il faut remonter à la genèse de sa vie.
Adopté par une famille franco-algérienne il passa son enfance dans le désert algérien où il hérita d’une double nationalité et d’une empreinte culturelle mixte.
Plus tard sa famille et lui furent obliger de migrer à cause de l’indépendance de l’Algérie dans les « merjas » du Gharb marocain où sévissait la lutte contre le protectorat. Enfant isolé et solitaire, le dessin était pour lui un espace de sécurité sur ces terres de conflit.
Son engouement pour le dessin en fin de terminale, lui valut d'être lauréat de la matière et en prime une année aux beaux-arts de Rabat. Cependant les différends familiaux successifs le poussa à quitter le Maroc.
En 1968 à Paris il devient mineur, ouvrier, nouvel étudiant et loin de la peinture.
Heureusement il rencontra cette belle blonde aux yeux d’azur qui devînt sa femme et sa muse. Après l'obtention de son doctorat il se sent libre et peint régulièrement.
Patrick Guilbaud tend à la manière des impressionnistes de « passer par l’ordinaire afin de cesser de l’être »
On peut percevoir par ses toiles sa double nationalité. Les couleurs et les lumières constamment étudiées qui traduisent l’émotion de chaque moment vécu. Aussi avec son arrivée à la Réunion sa production et sa palette se renouvelle et ramène une touche locale à l’exposition.
Parcourez donc le fil de sa vie à travers de ses toiles ancrées de belles histoires.
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