Fakear revient à ses premières amours jusqu'à sa maison-mère, Nowadays, sans pour autant regarder le passé avec nostalgie ou dégoût ; plutôt en le contemplant avec bienveillance, une tape sur l'épaule : je me suis trouvé , admet-il. Et quand on se trouve, c'est qu'on a arrêté de chercher.
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