On se réjouit à chaque fois que l’on accueille un artiste capable de tisser des liens entre l’Orient et l’Occident, que ce soit humainement ou artistiquement. Faraj Suleiman détient ce pouvoir dès que ses doigts effleurent son piano, et ça, le monde entier l’a déjà compris lors de ses tournées triomphantes. Baptiste de Chabaneix à la batterie et Côme Aguiar à la basse subliment la maestria du prince de la musique arabo-palestinienne. Sa venue à Strasbourg est une chance, yallah !
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