Pongo + Dope Saint Jude - Espace Django

Attention, ces deux talents bruts sont des diamants taillés dans le vif. Ça pulse, ça explose, ça mixe, ça groove, et surtout ça danse ! Brûlez avec le hip-hop enflammé de Dope Saint Jude, puis suffoquez avec le kuduro métissé de Pongo. C’est sûr, vous n’en sortirez pas indemnes !

PONGO

(PORTUGAL – ANGOLA/KUDURO)

En Angola, Pongo est une enfant qui danse avant même de savoir marcher. Sa famille fuit la violence angolaise de l’époque pour le Portugal, et elle grandira alors avec ce métissage de cultures et de sonorités. Des concerts dans les quartiers lisboètes, Pongo deviendra rapidement la voix des Buraka Som Sistema et brillera instantanément par son talent hors norme. Elle accompagne le groupe dans une tournée des plus grandes villes et festivals de la planète. Pongo s’est envolée, elle sent que tout est désormais possible.

Elle incarne aujourd’hui la diva d’un kuduro métissé et progressif, elle écrit et interprète ses propres morceaux en renouvelant le genre, mélangeant l’influence de ses racines africaines, langa, zaïco, avec dance, bass music, dancehall et tribal pop.

Sa voix puissante, rythmique, mais également fragile et sensible, nous entraîne dans son univers envoûtant, aux confins de la danse et du saudade, là où personne ne nous avait emmené auparavant.

DOPE SAINT JUDE

(AFRIQUE DU SUD/HIP-HOP)

Catherine Saint Jude Pretorius est née à Cape Town en Afrique du Sud. Après avoir étudié les sciences politiques à l’université de Cape Town, elle fonde la première troupe drag king d’Afrique du Sud et prend son envol sous le nom de scène Dope Saint Jude.

Son projet solo dévoile très vite sa capacité à séduire sur scène par ses textes novateurs et ses influences hip-hop énergiques. Elle propose un rap cru et une prod bass music aux influences grunge dont elle seule a le secret. Drag king, productrice, rappeuse, difficile de mettre Dope Saint Jude dans une case… Aussi bien inspirée par Tupac, Riot Grrrl mais aussi Queen ou Tracy Chapman, sa musique alternative représente les groupes encore trop marginalisés en Afrique du Sud. Concert après concert, l’inépuisable Dope Saint Jude enflamme les publics.