Giselle fut créé le 28 juin 1841, à l’Académie royale de Musique de Paris. Son intrigue met en scène une jeune paysanne, Giselle, éprise d’un certain Loys qui, très vite, s’avère être un grand seigneur travesti en paysan, Albrecht. Ne supportant pas d’avoir été dupée, Giselle
perd la raison et meurt au cours d’une poignante scène de folie. Elle renaît à l’acte II parmi les « Wilis », ombres blanches immatérielles qui, nuitamment, condamnent les mortels à danser jusqu’au trépas. Giselle n’a pas l’âme vengeresse et protège son bien–aimé, éploré sur sa tombe, en lui pardonnant son imposture dans un dernier adieu. Dans sa version de Giselle, Kader Belarbi souhaite renforcer le dualisme entre monde terrestre et surnaturel. Il cherche à accentuer la veine populaire des danses du monde paysan de l’acte I, en opposition à la pointe qui envole les créatures éthérées du deuxième acte. Puisant aux sources musicales d’Adolphe Adam, en compagnie du chef d’orchestre Philippe Béran, Kader Belarbi s’empare de l’histoire de Giselle, afin de l’écrire avec ses propres mots, tout en respectant le chemin de la tradition. perd la raison et meurt au cours d’une poignante scène de folie. Elle renaît à l’acte II parmi les « Wilis », ombres blanches immatérielles qui, nuitamment, condamnent les mortels à danser jusqu’au trépas. Giselle n’a pas l’âme vengeresse et protège son bien–aimé, éploré sur sa tombe, en lui pardonnant son imposture dans un dernier adieu. Dans sa version de Giselle, Kader Belarbi souhaite renforcer le dualisme entre monde terrestre et surnaturel. Il cherche à accentuer la veine populaire des danses du monde paysan de l’acte I, en opposition à la pointe qui envole les créatures éthérées du deuxième acte. Puisant aux sources musicales d’Adolphe Adam, en compagnie du chef d’orchestre Philippe Béran, Kader Belarbi s’empare de l’histoire de Giselle, afin de l’écrire avec ses propres mots, tout en respectant le chemin de la tradition.
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