Spécialement conçues pour la configuration de l’Auditorium de l’église Saint-Pierre-des-Cuisines, les trois pièces de ce programme chorégraphique s’intéressent à la communicabilité et à l’incommunicabilité de nos corps et de nos mémoires. Dans le huis clos de Salle des pas
perdus, quatre personnages, prisonniers de leurs souvenirs, se rencontrent et voyagent dans leur mémoire sur des pièces pour piano de Sergueï Prokofiev. Les Treize Roses sont au cœur de la création du chorégraphe espagnol Angel Rodriguez, Thousand of Thoughts (Mille Pensées). Les Treize Roses (Trece Rosas en espagnol) est le nom donné aux treize jeunes filles fusillées le 5 août 1939 à Madrid par le régime franquiste. Angel Rodriguez leur rend ici hommage en utilisant Les Fiançailles du compositeur contemporain Gavin Bryars. Avec Mur-Mur, sa nouvelle création pour le Ballet du Capitole, Kader Belarbi s’empare des Canti di Prigionia (Chants de prison) de Luigi Dallapiccola. À travers ce paysage sonore d’où émergent une plainte et une méditation sur la condition humaine, les méandres gestuels feront résonner l’âme prisonnière des corps. perdus, quatre personnages, prisonniers de leurs souvenirs, se rencontrent et voyagent dans leur mémoire sur des pièces pour piano de Sergueï Prokofiev. Les Treize Roses sont au cœur de la création du chorégraphe espagnol Angel Rodriguez, Thousand of Thoughts (Mille Pensées). Les Treize Roses (Trece Rosas en espagnol) est le nom donné aux treize jeunes filles fusillées le 5 août 1939 à Madrid par le régime franquiste. Angel Rodriguez leur rend ici hommage en utilisant Les Fiançailles du compositeur contemporain Gavin Bryars. Avec Mur-Mur, sa nouvelle création pour le Ballet du Capitole, Kader Belarbi s’empare des Canti di Prigionia (Chants de prison) de Luigi Dallapiccola. À travers ce paysage sonore d’où émergent une plainte et une méditation sur la condition humaine, les méandres gestuels feront résonner l’âme prisonnière des corps.
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