Mais qu’en est-il des animaux, jusqu’aux plus petits insectes ?
Que nous disent les travaux de l'éthologie comportementale ou des neurosciences ?
Les mouches drosophiles elles-mêmes auraient-elles des préférences en termes de partenaire sexuel ?
Sont-elles figées ou variables selon les conditions sociales ?
Ces préférences peuvent-elles être apprises socialement ?
S’agirait-il d’une forme de transmission culturelle ?
Cette présentation basée sur des expériences récentes sur les mouches drosophiles vise à donner des éléments de réponse.
Dans le cadre de la Semaine du cerveau.
En partenariat avec la Société des Neurosciences.
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Crédit image : @David Villa _ScienceImage_CNRS
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