Dès le bruissement des premières mesures menant à un magistral fortissimo, tout éclate de génie dans cette œuvre qui marque indiscutablement un sommet dans l’histoire de la musique. Dans un geste alors inouï, Beethoven convie quatre solistes vocaux et un chœur à se joindre à l’orchestre pour le final, absolument grandiose : l’Ode à la joie, sur un poème de Schiller.
Direction :Tarmo Peltokoski
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