Une vaste littérature circule sur les motifs qui ont poussé Jean-Sébastien Bach à écrire l’Art de la fugue, ce monument qui épuise presque toutes les possibilités de combinaisons qu’offre le contrepoint. Pour Jan Willem Jansen, il n’est pas question d’une œuvre théorique destinée
à être lue, ni d’une œuvre écrite pour plusieurs instruments. L’Art de la fugue doit être jouée sur un clavier, et son extraordinaire complexité et inventivité touchent avant tout à la maîtrise du temps. Au petit jeu qui consiste à retrouver le thème en augmentation, en diminution, en miroir ou obstiné, l’auditeur a souvent perdu d’avance face au génie parfois malicieux de Bach... Mais plongé dans cette architecture sonore qui imprime un autre rythme à l’univers, l’expérience se révèle presque mystique ! La première partie du concert est jouée à l’orgue. La seconde partie est proposée avec deux clavecins et un quatuor de violes. Interprètes : Jan Willem Jansen, orgue et clavecin. Ikuyo Mikami (Japon), clavecin. Myriam Ropars, Louise Bouedo, Barbara Hünninger, Agnès Boissonnot-Guibault, violes de gambe (CNSM de Lyon) à être lue, ni d’une œuvre écrite pour plusieurs instruments. L’Art de la fugue doit être jouée sur un clavier, et son extraordinaire complexité et inventivité touchent avant tout à la maîtrise du temps. Au petit jeu qui consiste à retrouver le thème en augmentation, en diminution, en miroir ou obstiné, l’auditeur a souvent perdu d’avance face au génie parfois malicieux de Bach... Mais plongé dans cette architecture sonore qui imprime un autre rythme à l’univers, l’expérience se révèle presque mystique ! La première partie du concert est jouée à l’orgue. La seconde partie est proposée avec deux clavecins et un quatuor de violes. Interprètes : Jan Willem Jansen, orgue et clavecin. Ikuyo Mikami (Japon), clavecin. Myriam Ropars, Louise Bouedo, Barbara Hünninger, Agnès Boissonnot-Guibault, violes de gambe (CNSM de Lyon)
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