L’utopie vire parfois à la tyrannie: après avoir passionnément admiré Napoléon Bonaparte, Beethoven fut meurtri de son virage impérial. Les aspirations révolutionnaires du musicien allemand rencontraient la réalité politique... Composée «en souvenir d’un grand homme », la Symphonie n°3 oppose aux déceptions du
pouvoir la force d’une musique éruptive, radicale, en un mot
: beethovénienne.
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