Son piano danse au bord d’un gouffre dont il connaît, seul, la profondeur. Monstre sacré dès l’âge le plus tendre, Evgeny Kissin a gardé la cinquantaine venue son visage d’ogre-enfant. S’il tutoie depuis toujours Beethoven et Chopin, il ne peut aborder Bach, son dieu, que par le medium de la transcription.
Evgeny Kissin, Piano
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Mardi 18 janvier à 20h
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