Le travail sensible de Germaine Chaumel, l'une des première femmes reporter, apporte un témoignage émouvant du quotidien. Avant-guerre, ses photographies sont l’occasion de voir un mode de vie désuet. Les scènes de marché, de la vente du thon et du sanglier à celle du tabac sur le trottoir, nous paraissent incongrues aujourd’hui. Durant la guerre, sous l'Occupation et jusqu'à la Libération elle continue de photographier le quotidien des toulousains et poursuit son travail de reporter lors des grands évènements sportifs et politiques. Elle nous livre ainsi un témoignage précieux de ces années.
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