La metteuse en scène anglaise, Kate Papi, interroge ici notre rapport aux territoires, aux lieux, à leur(s) histoire(s), à leur(s)identité(s). C’est à partir d’expériences personnelles, d’enquêtes menées auprès d’habitants de zones rurales, d’anecdotes quotidiennes, d’explorations de friches industrielles aussi, de bâtiments abandonnés… qu’elle écrit IBIDEM.
En grande proximité, sur un plateau nu, les acteurs, dans une chorégraphie rigoureuse et dynamique, créent des situations et des paysages nourris par tout ce vécu. Un théâtre aux multiples langages qui nous plonge dans une célébration anarchique et poétique d’un lieu et d’une rencontre, dans une méditation rythmique et physique sur les traces que nous laissons derrière nous et sur les évolutions d’un monde qui se transforme plus rapidement que nous.
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