Condamné·es à l’accablement tyrannique d’une vie de bête de somme, les esclaves noir·es américain·es se sont vu·es contraint·es d’avoir recours à l’arme libératoire du rire. Ils raillèrent aussi bien un « Monsieur Maître » cruel et crétin que l’esclave « John », rusé mais candide. Utilisant les modes divers du conte animalier, de la blague ou du boniment, ils affirmaient leur humanité face à leurs bourreaux.
Voici un choix des textes les plus représentatifs collectés par les folkloristes américains entre les années 1880 et 1960.
Un livre publié par Anacharsis (éditeur toulousain indépendant)
Lu par François Fehner et Ibrahima Bah
TARIF : 6€
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