Auprès des plus grands (Yvonne Loriod, Leon Fleisher, Aldo Ciccolini), Nicholas Angelich a forgé un art du clavier reconnaissable entre tous par son inimitable pâte sonore et une rare capacité à saisir la substance poétique des textes musicaux. Des tendres ou fulgurantes miniatures de Prokofiev à l’immense arche des Variations Haendel de Brahms, son récital augure d’une exaltante aventure sonore, pleine de rêve, de feu – et d’humanité.
0 Commentaire Soyez le premier à réagir