Philippe Jaroussky n’en finit pas de poser sur notre monde son chant d’ombre et de lumière. C’est au tombeau du Christ, cette fois, que sa voix s’agenouille. Tourments du pécheur, espoir de la rédemption : à ses côtés, la figure tutélaire de Vivaldi et ses contemporains venus d’Italie ou d’Allemagne.
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