Au programme de ce concert, outre la Symphonie n°8 de Dvorák, il a choisi de mettre à l’honneur deux femmes : Charlotte Sohy, compositrice parisienne du XXe siècle dont on redécouvre l’œuvre depuis peu ; et l’une de ses plus fidèles complices de musique de chambre, la pianiste de légende Martha Argerich, pour le Concerto pour piano n°1 de Beethoven : un pur moment de grâce en perspective.
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