Entre pépites oubliées et madeleines culte, retour en images sur 50 ans de télévision au filtre de la SF et de la BD, en compagnie de Jean-Pierre Dionnet.
Dans ses « Mes moires », Jean-Pierre Dionnet dit de la revue Métal hurlant qu’elle était « le plus beau journal du monde (destinées) aux meilleurs lecteurs du monde. Nous nous devions d’être à la hauteur de leur attente ».
Toute proportion gardée, les téléspectateurs des émissions TV de Jean-Pierre Dionnet furent eux aussi « les meilleurs du monde », au vu de la qualité de ses propositions audiovisuelles.
Le réjouissant «Impeccable »,», la turbulente « Sex Machine » au sein des mythiques « Enfants du Rock », l’encyclopédique « Cinéma de quartier »… Dans ces programmes Jean-Pierre Dionnet et ses équipes bousculèrent les codes télévisuels, y apportant sang frais et idées neuves.
La télé de Dionnet était sexy et érudite, potache et dynamique, drôle et exigeante, emplie d’admiration pour les artistes aimé.e.s, et d’amour pour ses téléspectateurs.
Parler de télévision avec Jean-Pierre Dionnet, ce sera aussi l’occasion d’évoquer, au gré d’un zapping dans les archives de l’INA, ses infuences, ses admirations, mais aussi la manière dont la télévision, média de masse, aborda la science-fiction et la bande dessinée, arts longtemps marginaux.
Une séance impossible à monter sans l’aide inestimable de Sébastien Bujan, Sabine Pagliarucci, Stanislas Defawes, et Denis Forget.
Source : Open Agenda
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